Désherber la pelouse (Page 2)

Bien entendu Gérald. C'était seulement l'occasion de signaler une info assez importante aux lecteurs. En réalité la suppression du désherbant sélectif nous ramène à l'époque précédente, avant que le gazon ne soit à la portée de chacun. Un beau gazon redeviendra rare, comme des rues sans herbes folles. On s'y fera très bien.

Le 2/4 D, sel d'amine, cet anti dicotylédone qui est classé pesticide pour les particuliers, par Monsieur Labbé, donc en principe interdit d'usage, ne l'est pas pour entretenir les gazons de terrains de foot, les golfs, et les prairies pour la mise à l'herbage par les éleveurs, et reste toujours en vente au Pros de ces espaces, et j'en ai vu cependant et bizarrement en vente sur internet
Il était associé pour les particuliers en jardinerie avec du Dicamba, que je n'appréciai pas du tout, car il pouvait chagriner la végétation des arbustes environnants.

Mon Cher Guy
Ton dialogue est imbuvable. Il faut penser que tu t'adresses à des gens qui ne sont pas des experts dans les phytosanitaires.
Ce dialogue il n'y a que toi qui le comprend.
Amicalement Gérald

Voyons Gérald, le produit que vous avez utilisé, sur votre gazon c'est ce dont je parle, et certainement pas en chinois.
Si vous l'avez utilisé sans en connaitre le nom, la composition et les quantités à respecter, il n'est pas étonnant qu'il soit interdit au public maintenant, car trop d'abus et pollution de la part des amateurs du jardin.
Il faut avant d'utiliser un produit s'informer de son action et surtout de ses dangers.
Trop souvent le particulier s'est offusqué par exemple du Rondup, sans savoir quel en était la consistance, la composition, et le mécanisme.
Le produit que vous avez utilisé porte un nom commercial certainement mais avez vous lu la notice pour en connaitre le vrai ?
Il n'y a pas dans le métier de la nature autre chose que de la science, extrêmement poussée, et il faut appeler un chat un chat, pour s'y retrouver.
C'est par ignorance que dans ce métier de la terre naissent des gourous enchanteurs de la naïveté.
Amicalement !

Si ces bons savants daignaient apporter leurs lumières à ces crétins de jardiniers amateurs, ça leur éviterait de se faire enseigner le jardinage par les marchands de soupe.

Les espaces publicitaires ne sont pas payés par les savants.
Le sang et la violence se vendent bien mieux que la réalité scientifique

Et Oui Hélas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Soyons clair, le jardinage amateur est sous la domination d'une filière qui gère aussi l'information. Les médias sont les relais de la filière , brassent la soupe et nous la serve. Le meilleur exemple c'est dans les salons professionnels, toute la filière est là pour faire savoir ce qu'elle veut vendre, et les médias pour prendre l'info à communiquer aux consommateurs. Publi-information. Ne comptons pas sur eux.
Les connaissances scientifiques sont à enseigner aux citoyens. Réserver cela aux seuls professionnels, c'est comme si on enseignait la conduite seulement aux routiers, et les maths seulement aux comptables. Si on pense que l'usage des phytosanitaires est un sujet assez grave pour pouvoir constituer un délit, si on veut faciliter les bonnes pratiques dans l'intérêt de la santé publique et de l'avenir de la planète, si on pense que des millions de gens jardinant des millions de parcelles est un sujet digne d'intérêt pour la société, c'est invraisemblable de ne pas avoir une démarche volontariste d'enseignement des connaissances utiles vers les jardiniers amateurs, en les considérant comme des citoyens, et pas comme des clients, des contribuables ou des justiciables.

Bellad, tu m'as laisser tombé. Le message sur mon blog, ou il est
Gérald

Après traduction du produit polonais de Bellad, nous sommes bien sur un nom commercial du 2/4 D Utilisé en agriculture et par les pros des espaces verts en France.
Un pesticide sans danger extrême, mais un pesticide tout de même, sauf à s'en asperger comme un parfum, ou à servir à l'apéro.
Pour en finir, Gérald, je pense qu'il est possible de faire réaliser ce traitement seulement tous les 2 à 3 ans, pas un professionnel des espaces verts, qui lui, est en droits de l'acheter si ses diplômes lui en accorde le droit, car il les lui faut impérativement, autrement c'est un délit qui peut être partagé avec le donneur d'ordre.

gerald as tu recu ma reponse par email ?