Mauvaises herbes (Page 2)

J'en dirais bien d'autres. Je suis là pour donner mon avis, quoiqu'on en pense.

Bonjour,
La question posée est : Connaissez vous quelque chose pour éliminer les mauvaises herbes sans trop de mal ?
Pour moi, c’est une question posée par une personne qui n’aime pas jardiner. Retourner la terre, ce n’est pas passionnant, repiquer des poireaux, les fesses en l’air la tête en bas, quel confort ! Désherber, position d’une femme, accroupie, pour un homme, c’est généralement un genou à terre, c’est délirant comme position. Je dirai qu’il y a deux sortes de jardinier, celui qui aime la terre, qui aime regarder ses allées et ses plantations tirées au cordeau, son jardin est un tableau qu’il aime admirer. Il y a le faux jardinier qui jardine par nécessité, il faut que ça rapporte, généralement ça ne rapporte rien, parce qu’il bâcle tout, tous les travaux sont des corvées. S’il pouvait avoir des esclaves pour faire tous les travaux qu’il déteste !

Que d’âneries ,rai(è)sonnement d'un pot chambre au cul d'un malade.C'est honteux de critiquer un jardinier qui cultive par necessité.

Hé bien que d'agressivité !!!! Je vais pas vous remettre d'accord par ce que moi je paille et je ne désherbe pas, ça marche très bien depuis des années. De toute manière, biner ou retourner la terre, je ne peux pas à cause de problème d'épaule, alors je fais quoi, j'arrête de jardiner ???? Un peu de tendresse BORDEL !!!!!

Bonsoir,
Ce n’est pas de l’agressivité, c’est de la poésie choisie, d’accord poésie de Charretier.
Je dis bien il y a deux sortes de jardiniers, un qui aime la terre et l’autre que ça ennuie profondément. Je ne parle pas des personnes qui ont un handicap physique, qui ont du mal à se mettre à genoux pour désherber et encore plus à se remettre debout, ils font comme ils peuvent et non comme ils voudraient. Des jardiniers qui ont un poil dans la main ou plutôt une queue de vache, ils ne sont pas rares, c’est la femme qui se cogne le travail

Aimer la terre, c'est ne pas la bousculer et vivre à son rythme. Moi je passerai ma vie dans la nature, c'est tellement apaisant pour le cœur et l'esprit

Le jardinage, c'est la tour de Babel. Il fût un temps où tous parlaient la même langue, où tout le monde faisait son "maraîchage familial" à l'ancienne. Aujourd'hui il y a différentes cultures du jardinage, et chacune a une langue différente (et une religion différente?).
Soyons polyglottes.

Bonjour,
Il n’y a pas de culture nouvelle, on connait exactement les besoins d’une plante. C’est en permanence que je désherbe avec mes deux petites mimines, qui sont super-bronzées, elles ne peuvent se déplier qu’au trois-quarts mais qui se referment très bien comme une pince-étau, un petit mouvement de rotation en aller-retour et j’arrache l’indésirable, toujours avec une main, droite ou gauche, mes doigts font un excellent râteau pour niveler la terre après l’arrachage. Mes ongles sont noirs, les mains sont douces et blanches contrairement à des collègues qui ont des mains du type coussinets des chiens de chasse.

On connait sommairement les besoins des plantes, mais outre la différence dans la manière de les satisfaire, les attentes des jardiniers sont devenues très diverses. Le jardinier ne jardine plus par nécessité, par économie, ou plus seulement. Cela fait plutôt partie de son art de vivre.
Quand on pense connaître exactement les besoins des poulets, ça donne ça:
www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/wp-content/uploads/sites/2/2019/08/chicken_farm.jpg
Alors je doute que le 13-40-13 fasse le bonheur des aubergines.

Bonjour,
Tu fais une lettre à l’INRA et tu expliques ton point de vue pour que les membres puissent rigoler un peu.
Tu es un gros spécialiste des liens. Les liens c’est du vent, comme vue à la TV, entendu à la radio, etc. Internet, c’est du pipeau où chacun raconte n’importe quoi. Mes réponses sont toujours celles que l’on peut trouver dans les manuels des écoles d’agriculture de l’enseignement publique.

Ce que j'écris est public, si un agronome veut me corriger il est le bienvenu.
Quand je mets un lien, tout le monde peut profiter de la référence et l'apprécier pour ce qu'elle vaut. Tu devrais en faire autant, sinon on pourrait croire que tu inventes.
Dans les écoles d'agriculture publiques on enseigne aussi l'agroécologie et l'agriculture bio, et il y a même des manuels
soltner.fr/agronomie/guide-de-la-nouvelle-agriculture-sur-sol-vivant-l-agriculture-de-conservation/