paillage (Page 2)

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guy 45 (45)
27/05/2020 à 19:11

Je n'ai rien à redire sur le jardin du paresseux, sauf à constater qu'une fois de plus il faut avoir une allure particulière comme un certain professeur, actuellement très controversé, afin de passer pour un scientifique de la nature.
Comme beaucoup de ces donneurs de leçon, on peut lire leurs livres mais lorsqu'il est question de vivre et mettre en pratique leurs sciences, on s'aperçois des difficultés et des déboires dont ils ne nous parlent pas, car chez eux tout est beau, tout est joli, et rien ne crève, jamais de maladie, etc...
Vous en penserez ce que vous voudrez, mais c'est mon expérience du jardinage avec toutes ses turpitudes qui me régale de mes légumes , pour le reste, je lis, je ne suis pas fermé au nouveautés, mais souvent je souris aussi, en me demandant si je ne devrai pas en faire autant pour gagner du fric.

Réponses
JETHRO (02)
27/05/2020 à 20:28

Je ne pensais pas que le foin provoquerait tant de foin ; Jai lu le livre et regardé quelques vidéos et D H en parle et mets en garde justement dur les déboires et aléas de la phénoculture ceci dit son look sinon cela ne regarde que lui pas de jugement au faciès merci Je jardine depuis plus de cinquante ans et il est toujours temps de se remettre en question pour protéger la nature le plus possible

guy 45 (45)
27/05/2020 à 21:00

Ce n'est pas le faciès qui est en cause mais la longueur des cheveux pour faire plus près de la nature. Tout un rôle pour convaincre que l'homme laisse tout pousser pour convaincre.
Il manque la barbe qui ne va pas tarder de pousser aussi :D

Roby88 (88)
27/05/2020 à 23:02

Guy 45 , tu réponds à qui dans tes deux articles ? parce que je parle de paille bio?

guy 45 (45)
28/05/2020 à 12:42

Roby je répond à Jethro sur l'usage du foins et sa référence aussi du jardin du paresseux.
La mode est au suivit des recommandations de spécialistes d'une nouvelle tendance, qui prend des virages assez étonnants.
La permaculture est maintenant dépassée
On parle de Phénoculture,
Jusque ou irons nous dans l'absurde et l'utilisation des esprits sensibles à l'organisation de la nature, par des techniques dites révolutionnaires, ou réactionnaires qui perturbent les gens de bonne volonté dans leur désir de bien faire leur jardin.
Affaire de fric pour ces soit disant ingénieurs à la retraite qui jouent les gourous, en pondant des livres et des vidéos au goût juteux.

dede89 (89)
28/05/2020 à 13:44

Bien dit Guy,on va les laisser a leurs expériences moi j'en fait une par ces temps chauds,la feignassoculture, avec une ambition :arriver a faire de la fricoculture.Comme un rien m'occupe des heures je vais y arriver .

Roby88 (88)
28/05/2020 à 19:05

tu me rassures Guy45 car je suis entièrement d'accord à tout ce que tu viens de citer , le pognon - le pognon . MOI je ne change rien à mes habitudes , je dis ce que je fais et les gens font ce qu'ils veulent .
ET un peu comme dede89 , ce qui n'est pas aujourd'hui sera fait demain !!!!!
à 70 Balais passés : il faut profiter !!!!
bonne soirée à tous ( tes )

papoupatou (84)
28/05/2020 à 19:59

Bien d accord avec les trois dernier post

Marc65 (65)
29/05/2020 à 08:59

Au moins, ça alimente la réflexion. "Dans le temps", il y avait une méthode de jardinage, elle était dans le Larousse, ou dans les almanachs, ça marchait, et on sortait pas beaucoup de ça. Aujourd'hui, on est moins conservateurs, parce que le monde a besoin d'être changé, vite et beaucoup.

jcbdu86 (86)
29/05/2020 à 10:48

Bonjours

je vois dans ces commentaires plus de Littéraires que de conseillés

guy 45 (45)
29/05/2020 à 15:48

Il est préférable pour soigner son jardin d'avoir les bases et connaissances du monde agricole, mais il est impossible de tout comparer et appliquer puisque trop de différences d'un endroit à un autre, n'apportant pas le même résultat.
J'ai des amis qui sont dans le sable, que j'envie pour leurs cultures d'asperges, D'autres avec leur argile, qui arrosent deux fois moins que moi, et donc à chaque situation des avantages et inconvénients différents.
C'est donc l'expérience et le vécu de chaque cas particuliers qui compte, avant toute doctrine et grandes messes.