semis tomates (Page 2)

Bonjour
Dans les laboratoires de l'INRA que j'ai visité, le risque de maladies est à l'évidence pratiquement réduit au minimum, ce qui ne correspond pas avec nos modes de cultures sur le terrain.
En culture extérieur ou amateur, les agents pathogènes sont bien là, et inévitables.
Retirer les cotylédons, après plusieurs feuilles de croissance, évite l’installation des micro-organismes néfastes à la pérennité du plant et sa bonne santé, par l'ablation d'un élément en cours de mort lente, attaqué par des agents extérieur, et devenant inutile.
On retire le placenta devenu également inutile, du bébé pour son bon développement, on ne le laisse pas pourrir dans le berceau avec le nouveau né.
Ceci pour imager ce que représente le cotylédon à la jeune plante.

Il est regrettable de ne pas pouvoir lire correctement en totalité les posts sur cette page, car en bout de ligne à droite, beaucoup de mots sont cachés. Merci d'y apporter une correction !

Bonjour,
Une petite précision.
Le Botrytis cinerea peut sévir en pépinière, on retire les cotylédons sénescents, pour éviter que la maladie se propage aux tiges.
Les cotylédons sont sénescents, c’est-à-dire qu’ils n’ont plus aucune fonction, le Botrytis peut s’y installer.

Ahhhh une bonne précision, et pour les tomates c'est un risque de mildiou et d'oïdium évident lorsque les cotylédons vont dépérir. On y arrive !

merci a tous pour votre aide

Bonjour,
Je cultive de la tomate sous serre et je n’ai pas de mildiou, mais je peux avoir du Botrytis cinerea. La raison, le mildiou est inhibé à une T° de 25° C alors qu’il faut une T° supérieure à 32° C pour le Botrytis cinerea. La bouillie bordelaise n’a aucun effet sur sa personne en préventif comme en curatif, raison pour laquelle on enlève les cotylédons sénescents ou en fin de vie, à votre choix.