desherber son jardin (Page 2)

re
l'huile de coude, c'est bien, quand on peut. En plus selon la plante, si vous laissé la moindre racine, c'est cuit.
Avant mon hernie, j'arrachais les mauvaise herbes, mais chaque année elles revenaient . Ce n’étais pas un problème, il n'y avait pas de culture. Maintenant s'est différent
Quant au roundup, il y en a avec et du sans glyphosate, je me suis fait avoir. Faut bien lire l’étiquette. Résultat archi nul 35€ dépensé pour rien
a+

Bonjour à tous les passionnés de jardinage !

Je suis tellement heureux de partager mon expérience avec vous tous aujourd'hui en ce qui concerne le désherbage de mon jardin. Cela a été un long et ardu voyage, mais je suis finalement parvenu à trouver des solutions qui ont fonctionné pour moi.

Tout a commencé il y a environ un an, lorsque j'ai remarqué que mes parterres de fleurs étaient envahis par des mauvaises herbes. Au début, je pensais que ce n'était pas si grave et que je pourrais facilement les retirer à la main. Cependant, plus je les arrachais, plus ils revenaient en force. Je me suis alors rendu compte que j'avais affaire à une infestation de mauvaises herbes très tenaces.

J'ai commencé à me documenter sur les méthodes de désherbage les plus efficaces et j'ai essayé plusieurs d'entre elles, mais aucune n'a donné les résultats que je cherchais. J'ai essayé de les brûler avec du glyphosate, mais cela n'a fait qu'empirer les choses. Les mauvaises herbes sont revenues plus fortes et plus nombreuses. Je me sentais découragé et je ne savais pas quoi faire.

C'est alors que j'ai découvert l'importance de la prévention. J'ai commencé à couper régulièrement les mauvaises herbes avant qu'elles ne fleurissent, ce qui a permis de les affaiblir et de les contrôler. J'ai également étendu une bâche de paillage sur les parterres de fleurs pour empêcher les mauvaises herbes de germer. Cela a été un véritable tournant pour moi !

J'ai également appris à choisir les bonnes plantes pour mon jardin. Certaines plantes sont plus résistantes aux mauvaises herbes que d'autres et peuvent aider à les contrôler. J'ai planté des couvre-sols tels que les gazanias, les pélargoniums et les ajuga, qui ont non seulement ajouté de la couleur à mon jardin, mais ont également empêché les mauvaises herbes de se développer.

Enfin, j'ai également appris l'importance de l'arrosage. J'ai commencé à arroser mes plantes régulièrement pour les maintenir en bonne santé, ce qui les a rendues plus fortes et plus résistantes aux mauvaises herbes.

En résumé, je peux dire que j'ai appris beaucoup de choses au cours de mon voyage de désherbage de jardin.

Pas étonnant que les pélargonium diminuent la présence des mauvaises herbes puisque le nouveau Rondup n'est autre que de l'acide pélargonique, tout autant polluante pour la nature que le Glyphosate, qui reste toujours classé comme cancérigène probable, donc sans certitude avérée.
Le glyphosate ne brûle pas une plante,, ce que fait cependant l'acide pélargonique sur le feuillage.
Il n'a qu'une seule action destructrice des défenses immunitaires du végétal, qui va alors mourir lentement suite aux attaques très variées de son environnement, sans pouvoir donc se défendre.
c'est bien ce qui n'a jamais été vraiment compris par les particuliers qui ont dosé massivement et exagérément leur bouillie, sans en connaitre en réalité le bon fonctionnement.
C'est par cette astuce physiologique qu'intervient la modification génétique des organismes OGM, en laboratoire, des végétaux à cultiver, qui seront alors résistants au glyphosate, et pourront recevoir une dose par pulvérisation de ce désherbant, sans en subir les conséquences, laissant toutes les autres plantes indésirables crever lentement.
C'est cette utilisation scabreuse du glyphosate sur des cultures en place, qui a fait débat et représente un danger potentiel pour le consommateur, qui peut retrouver dans son assiette des traces du produit, de la même manière que tout autre traitement sur un végétal en place, dans un jardin, ou sur un champ.
La méthode la plus écolo pour le désherbage consiste à empêcher la levée des graines, en griffant régulièrement et souvent la surface du sol, ce qui de plus, va favoriser la retenue d'eau de la terre, en évitant son évaporation.
On dit toujours qu'un bon binage vaut un arrosage, et c'est vrai !

Guymi, tu évoques des détails et tu oublies l'essentiel.
Ce n'est pas l'utilisation du glyphosate sur des cultures OGM en place qui a fait débat.
Le binage est une manière évidente de désherber ce qu'on cultive, mais le problème est l'absence de bonnes solutions pour entretenir les espaces non cultivés.

Bonjour,
La lutte contre les adventices peut être effectuée par des méthodes culturales, amélioration foncière, assolement, façons culturales, etc. Il y avait les moyens chimiques, les colorants nitré, les auxines. Les matières minérales, il y avait des engrais désherbants comme la sylvinite spéciale, le chlorate de soude. Le seul qui reste dans le commerce, c’est l'acide sulfurique comme désherbants sélectifs du blé. Perso j’ai vu utiliser l’acide sulfurique dilué en Seine et Marne. Attention l’acide dans l’eau, l’inverse vous, vous faites débarbouiller ! Il y avait d’autres désherbants comme l’atrazine qui est interdite depuis 2011 ? Les seuls désherbants que l’on peut utiliser sans risque pour soi et l’environnement sont les méthodes culturales, pioche, pelle, raclette, liste non exhaustive !

Bonjour Marc.
Je n'évoque que le désherbage chez le particulier. Pour ce qui est du vaste problème des espaces non cultivés, tel que les municipaux par exemple, la solution final reste à laisser la nature reprendre ses droits, et on le constate maintenant fréquemment, avec des interventions programmées, après envahissement, c'est le progrès actuel, les rues végétalisées, et pourquoi pas.
On fait participer au désherbage des trottoirs, les contribuables, sans en diminuer les taxes , sur le même principe que le tri des ordures ménagères.
Cela permet de valoriser le civisme collectif et la trésorerie des municipalités.
Je me pose cependant la grande question pour un autre domaine, sur la méthode employée pour la conservation sans végétal, des voies de chemins de fer, fameuse SNCF ?
Il semblerait que l'application des lois ne soit pas pour tout le monde, ou alors les graines ne résistent donc pas à la vitesse des trains, certainement.
Ou alors et encore l'usage d'un bon produit marron, discrètement répandu en nocturne, depuis de nombreuses années, mais qui reste tabou.
Chut, je n'ai rien dit !

Guymi, les allées, les cours, les terrasses, cela concerne aussi les particuliers. Et, comme tu le dis, la végétalisation d'une partie de ces espaces est une solution, pour le particulier également, comme toute solution qui demande moins d'entretien.
Aux dernières nouvelles, la SNCF projetait de remplacer le glyphosate par un mélange d'acide pélargonique et de Flazasulfuron.
www.sncf-reseau.com/sites/default/files/2022-09/Produits%20phyto%20utilises-conditionsUtilisation_septembre2022.pdf
www.sncf-reseau.com/sites/default/files/2022-09/Bilan%20annuel%20des%20traitements%202021.pdf